« Aidez-nous à sauver l’association l’Écurie de Grèges qui sauve de pauvres bêtes issues de maltraitance. Les terrains sur lesquels l’association est implantée sont en train d’être vendus, nous n’avons pas les moyens de les acheter. L’association risque de fermer ses portes et de devoir se séparer de ses équidés qui y avaient trouvé refuge pour une vie meilleure. »

Ingrid qui sauve des chevaux maltraités près de Dieppe a besoin d’aide

« Aidez-nous à sauver l’association l’Écurie de Grèges qui sauve de pauvres bêtes issues de maltraitance. Les terrains sur lesquels l’association est implantée sont en train d’être vendus, nous n’avons pas les moyens de les acheter. L’association risque de fermer ses portes et de devoir se séparer de ses équidés qui y avaient trouvé refuge pour une vie meilleure. »

Un appel aux dons vient d’être lancé par l’association, basée à Bracquemont/Petit-Caux (Seine-Maritime), sur le site leetchi.com En effet, cette dernière a besoin d’aide. La structure n’est pas un centre équestre mais bien « une association de protection et de sauvetage d’équidés, notamment des poneys qui ont été maltraités ou dont les propriétaires ne s’occupaient plus », souligne Ingrid Mallet, la présidente et fondatrice de l’association.

Elle a aujourd’hui 24 pensionnaires : poneys, chevaux et ânes. La structure fonctionne grâce à un réseau de bénévoles et est financée par des dons. Et 18 jeunes donnent de leur temps et parrainent les animaux pour participer au financement de la nourriture et aux soins des animaux.

Seulement actuellement l’Ecurie de Grèges dispose de différentes parcelles de terrains situées les unes à côté des autres à Bracquemont, « pour une surface totale de cinq hectares », indique Ingrid Mallet. Certaines sont louées, une autre est prêtée par la municipalité, enfin une dernière est laissée à l’usage des Écuries de Grèges à titre gracieux.

Mais une personne souhaite acquérir cette dernière parcelle. Et les propriétaires seraient enclins à la mettre en vente, d’après Ingrid Mallet. Ce qui causerait un souci à l’association qui, sans ce pré, ne pourra plus prendre en charge autant de chevaux. D’autant plus qu’elle se situe au milieu des autres parcelles.

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